Rendez-vous, Challenges
Acquisition(s) #1 (juin 2014)
Theodora Van Alen est persuadée que les meurtres sanglants de Duchesne, la prestigieuse école new-yorkaise des sang-bleu, sont liés à leurs ennemis de toujours : les sang-d’argent. Elle part donc à Venise rechercher son grand-père, qui croit lui aussi à cette hypothèse. En même temps se prépare le bal des Quatre-Cents, le grand événement chez les vampires organisé par Mimi Force, l’élève la plus populaire et la plus enviée du lycée. Mais c’est après le bal que se dissimulent, derrière les masques, les vrais dangers… J'ai acheté ce livre, bien que je l'ai déjà lu mais simplement parce que je l'avais emprunté, or j'ai le premier puis le quatrième et cinquième tome à la maison, ce qui est problématique parce que je voulais les relire, du coup je l'ai trouvé en poche, et hop, acheté.
Theodora Van Alen défile maintenant pour les couturiers les plus hype et fréquente en secret Jack Force. Hélas, la suspicion enfle dans le petit monde des vampires. Qui sait réellement d'où vient la jeune fille ? Tous les regards se tournent vers elle, et pas seulement ceux des photographes. Lorsque les Sang-Bleu sont invités à un dîner de gala au Brésil, Theodora doit échapper aux rumeurs. Mais quelqu'un attend à Rio et le danger est plus grand qu'une chute de Stiletto... J'ai acheté ce livre pour les mêmes raisons que le précédent, toujours en poche.
Theodora et Jack se sont enfin unis, mais leur relation demeure interdite. En effet, pour briser son lien avec Mimi Force, Jack doit affronter celle-ci et quitter Theodora. La mère de Theodora, Allegra, qu'on retrouve dans les années 90 à Florence, a connu le même dilemme. Éperdument amoureuse d'un humain, Allegra rejette le lien sacré qui l'enchaîne à Charles Force, son promis. Elle paiera très cher ce choix. Deux décennies plus tard, sa fille vivra-t-elle le même sort ? C'est au Caire, où se trouve la Porte de la Promesse qui doit mettre fin au conflit qui oppose les Sang-bleu à Lucifer, que se trouve peut-être la réponse... Celui-là je ne l'avais pas encore lu, mais comme je l'ai trouvé avec les autres (toujours en poche), je me suis dit que ça me faisait une bonne raison non seulement pour les relire, mais aussi pour continuer la série, par contre je n'ai pas trouvé le dernier de la série.
Rien ne va vraiment plus chez les Spellman, la dynastie de détectives privés la plus déjantée de San Francisco : Madame mère déserte le foyer sous des prétextes louches... Monsieur semble cacher quelque chose... Rae, leur fille cadette, passe son temps à enlacer les arbres... Sydney, leur petite fille, ne dit qu'un seul mot : « Banane »... Grand-mère va voir les films de Morgan Freeman avec un ex-taulard... N'étaient ses relations avec son ex nº13, on pourrait penser qu'Izzie, leur fille aînée, est enfin rentrée dans les normes.Ce qui n'est pas le cas des enquêtes en cours chez Spellman & Associés, plus dingues que jamais ! J'adore cette série ! J'en achète peu en grand format, mais pour les Spellman, c'est un rendez-vous que je ne loupe jamais ! Quand j'ai appris qu'il était sorti, j'ai foncé à ma FNAC préférée (enfin plutôt la plus proche sur ce coup) et je l'ai pris... forcément. Du coup, c'est "la" lecture de l'été, j'ai hâte de m'y plonger mais pas encore totalement le coeur.
Dans un orphelinat situé au fin fond du Maine, Wilbur Larch, gynécologue excentrique, se livre à une double mission : mettre au monde des enfants non désirés, et futurs orphelins - «l'œuvre de Dieu» -, interrompre illégalement des grossesses - «la part du Diable». Mais entre lui et un orphelin réfractaire à quatre tentatives d'adoption vont peu à peu se développer des sentiments qui ressemblent fort à ceux d'un père et d'un fils. J'avais déjà essayé de me plonger dans un Irving en Terminale, sous les conseils de mon prof de philo, c'était Une prière pour Owen, mais j'avais eu beaucoup de mal, mais du coup, quand je l'ai vu dans une brocante pour cinquante centimes, je me suis dit que c'était une bonne idée pour m'y réessayer.
Après la France, les Françaises. Pour Paul West, sujet de Sa Majesté, zigzaguer entre les crottes de chiens n'était déjà pas simple. Sans parler du charabia de l'anglais parisien et toutes choses qu'un "Englishman in Paris" serait bien inspiré, dans sa vaine espérance de survie, d'appréhender illico…Mais comprendre le beau sexe quand celui-ci a une mère française et un père français, "oh my God !" Quand passer des vacances en famille signifie rénover la fosse sceptique, récolter des courgettes, désamianter le toit et se rendre coupable de tentative de matricide, il y a de quoi en perdre son franglais… Entre apéritifs à répétitions et embrouillaminis amoureux, c'est à peine si Paul West trouvera le temps d'envisager de rentrer chez lui. J'avais lu, il y a plusieurs années de ça, God Save la France que j'avais trouvé sympa sans réel coup de coeur, c'est pour ça que je n'avais pas acheté "la suite", mais comme je l'ai trouvé pour cinquante centimes dans une brocante je me suis dit que je serais bête de me priver d'une petite lecture divertissante.
Brillante et déterminée, Chloé n'a qu'un problème dans la vie : son boss, Bennett, revenu prendre les rennes de l'entreprise familiale de Chicago après un séjour en France. Trentenaire séduisant, arrogant et égocentrique, il est odieux mais... magnétique. Bennett, lui, découvre en sa collaboratrice une jeune femme aussi ravissante qu'exaspérante, et qui n'entend rien sacrifier à sa carrière. Entre eux, c'est l'affrontement immédiat, mais aussi le désir obsédant, dévastateur. Ensemble, ils vont enfreindre une à une toutes les règles qu'ils s'étaient imposées. À une seule fin : se posséder... Bon, une amie me l'a conseillé dernièrement, du coup je l'ai acheté lors de ma dernière virée à la Fnac. Je n'ai pas encore fini Cinquante nuances de Grey (la flemme de m'y remettre et surtout je l'ai qu'en format PDF) mais ce livre-là, je compte bien le lire pendant l'été.
Au cours d'une partie de tennis deux joueurs font le pari de changer totalement de personnalité en un an. Le cadre pas très dynamique trouve dans l'alcool le courage de se libérer des conventions, l'artisan encadreur devient détective privé. Celui-là notre professeur de philo de Terminale nous en avait tellement parlé... que j'ai fini par l'utilisé en exemple dans mes dissert' sans jamais l'avoir lu, du coup je pense qu'il fallait rattraper cette lacune, en plus c'est la première fois que je le trouvais en occasion ! Je l'ai acheté pour trois fois rien à Fontenoy-la-Joûte (le Village du livre, dans les Vosges).
Un jour, pensant faire sourire votre femme et vos amis, vous rasez la moustache que vous portiez depuis dix ans. Personne ne le remarque ou, pire, chacun feint de ne l'avoir pas remarqué, et c'est vous qui souriez jaune. Tellement jaune que, bientôt, vous ne souriez plus du tout. Vous insistez, on vous assure que vous n'avez jamais eu de moustache. Deviendriez-vous fou ? Voudrait-on vous le faire croire ? Ou quelque chose, dans l'ordre du monde, se serait-il détraqué à vos dépens ? L'histoire, en tout cas, finit forcément très mal et, d'interprétations impossibles en fuite irraisonnée, ne vous laisse aucune porte de sortie. Ou bien si, une, qu'ouvrent les dernières pages et qu'il est fortement déconseillé d'emprunter pour entrer dans le livre. Vous voici prévenu. Ca fait longtemps que je voulais découvrir Carrère, je pensais le faire avec L'Adversaire mais c'est La moustache qui m'ait tombé dessus à Fontenoy-la-Joûte, du coup autant essayer !
C'était un rite amoureux étrange de ce couple mal assorti. Hannah, 35 ans, aimait que Michaël, 15 ans, lui fasse la lecture à haute voix. Un jour Hannah disparaît. Quelques années plus tard, alors qu'il fait ses études de droit, Michaël retrouve Hannah au banc des accusées d'un procès contre des criminelles nazies. Elle se défend mal, comme si elle préférait une lourde condamnation à l'aveu d'un honteux secret... Pendant des années, Michaël continue d'envoyer des lectures enregistrées sur cassettes à la prison où Hannah purge une longue peine. Peut-on aimer quelqu'un dont on abhorre la conduite sans se rendre soi-même coupable ? Sous l'aspect d'une triste histoire d'amour, le roman soulève de graves questions, comme la responsabilité et les conditions de la dignité humaine. J'en avais pas mal entendu parler au moment où le film était sorti, et puis mon copain l'avait lu pendant ses trois années d'Abibac (en allemand donc), du coup j'ai eu envie moi aussi de découvrir ce livre et je n'ai pas hésité à l'acheter pour quelques euros.
Avez-vous lu Solal ? C'est la question que, ces jours derniers, je pose à tous ceux que je rencontre. Solal est un très grand livre, une œuvre forte et riche. (Marcel Pagnol, Les NouvelIes littéraires) [...] Non, il n'y a pas de résumé sur la quatrième de couverture et j'ai trop galéré à en trouver un, du coup je ne donne que le début de la quatrième de couverture de mon édition. Vous connaissez Belle du Seigneur ? Oui certainement. Je l'ai acheté il y a quasiment un an, sans savoir que c'était le troisième tome d'une quadrilogie, le premier étant Solal, le deuxième Mangeclous et le troisième Les Valeureux. Et comme je ne suis pas comme les autres, j'ai décidé de ne pas m'attaquer à ce pavé de l'amour (apparemment) sans avoir lu les deux premiers, question de principe. J'ai trouvé très facilement les deuxième et quatrième tomes mais quelle difficulté pour trouver le premier en occasion ! Du coup je l'ai vu, j'ai sauté dessus... J'espère bien que ce sera ma lecture de l'été.
Ainsi que quelques BDs et des livres moins intéressants puisqu'il s'agit de livres d'Histoire.